Le véritable sens des arts martiaux – Extrait du livre en rédaction : Ki, le Chemin de l’Éveil (Tome II)

Voici un extrait du livre :  Ki, le Chemin de l’Éveil (Tome II), qui est en cours de rédaction. Pour en savoir davantage sur les tomes I et II, cliquez ici…


Le sens des arts martiaux

Il existe des centaines de style d’art martial et de sport de combat à travers le Monde. Un Art martial véritable est voué au développement des forces intérieures qui nous habitent et à l’avancement spirituel alors qu’un sport de combat est caractérisé par la compétition et la promotion de l’ego.

Toutes les cultures martiales et de combat ont leurs modes de pratique et leurs philosophies bien à elles. Très peu cependant offrent une diversité d’applications et de domaines d’étude sous-jacents comme le Ki-Aïkido dont les principes inhérents de coordination corps – esprit sont indubitablement prédicables à toutes les activités humaines de nature positive.

Les arts martiaux les plus connus nous viennent principalement d’Asie de l’Est, soit du Japon (le Budo, ou « Voie des arts martiaux », comprenant le Judo, le Karatedo, l’Aïkido, Le Kendo, le Kyodo et l’Iaïdo), de la Chine (le Wushu incluant le Kung-Fu, le Qi-Gong et le Tai-Chi-Chuan), de la Corée (le Han-Mu-Do popularisé par la dissémination mondiale du Taekwondo, l’Hapkido et le Taekkyon), etc.[1], pour ne nommer que ceux-ci.

Il existe une variété de styles pour satisfaire tous les niveaux vibratoires des humains. Ainsi, un pratiquant potentiel sera attiré vers des vibrations lui correspondant, et c’est normal. C’est pourquoi on ne doit jamais décrier les choix des individus, car d’instinct ils vont choisir la discipline qui les fera cheminer selon leur schéma évolutif propre.

Et un grand sage a dit : « Si j’effaçais les erreurs de mon passé, j’effacerais la sagesse de mon présent ». Alors il n’y a pas de mauvais choix. On doit avancer et expérimenter la vie avec confiance, et c’est aussi vrai avec la pratique des arts martiaux et ses nombreux dérivés. D’autant plus que ces pratiques, lorsque bien comprises, sont des véhicules, des portails vers des sphères de conscience supérieure (comme nous le verrons plus avant).

Des styles pacifiques à mains nues et même considérés thérapeutiques comme le Taï-Chi, jusqu’aux dérapages de violence des combats en cage dans le but de satisfaire une plèbe comparable aux spectateurs des arènes du temps des gladiateurs romains, en passant par le maniement d’armes rudimentaires de toutes sortes, on trouve de tout.

Pour le profane, il est difficile de s’y retrouver parce souvent les arts martiaux en Occident sont devenus au fil du temps des produits de consommation visant à satisfaire des besoins variés réels, ou simplement fabriqués par une mise en marché adéquate abordant la question sous diverses enseignes comme l’autodéfense[2], la confiance en soi, le défoulement, la détente, le développement personnel, l’exotisme, la mise en forme, les spectacles violents, la spiritualité, etc.

Ainsi, le commerce des arts martiaux en Occident est soumis aux règles puériles du markéting et de l’avidité comme c’est souvent le cas pour des pratiques à caractère spirituel incluant des disciplines comme la méditation, le Yoga[3] et autres pratiques New-Age.[4]

En Occident, les arts martiaux en général sont perçus par les profanes selon leurs préjugés (comment en serait-il autrement ?). Cette perception est de façon certaine affinée par les nombreux films d’arts martiaux hollywoodiens et chinois et les compétions sportives professionnelles qui somme toute ne sont que des spectacles, des divertissements, mais combien inutiles et nuisibles pour l’avancement de l’Humanité.

Aussi, les arts martiaux ont souvent mauvaise presse auprès de la population parce qu’ils sont assujettis au maintien de paradigmes [5] qui dénaturent systématiquement les fondements de ces fabuleuses pratiques.

Ces dernières sont souvent incomprises non seulement du grand public, mais aussi très souvent par les pratiquants eux-mêmes, qui entretiennent des schémas où la promotion de l’ego de tout un chacun ou de groupe prime sur la découverte de sa propre humanité, soit de sa nature profonde.

Ainsi, un dénigrement continuel s’opère encore par les tenants d’un style avec la prétention manifeste ou non d’être meilleur qu’un autre. De grands arts de développement spirituel et physique sont dès lors relégués à une totale infantilisation. De toute évidence, il s’agit là d’une involution de nombreuses pratiques qui visaient récemment a priori le développement de soi et l’Éveil.

En effet, au début du XXe siècle les « Jutsu », soit les techniques guerrières de combat à utiliser sur le champ de bataille se sont transformés en « Do » soit les Voies harmonieuses de développement intérieur.

L’Art de la Paix est un remède pour un Monde malade. Il y a du mal et du désordre dans le Monde, car les gens ont oublié que toute chose émane d’une seule Source. Retournez à cette Source et laissez derrière vous toutes pensées égocentriques, désirs et colères. Ceux qui ne sont possédés par rien possèdent tout.

O’Sensei Morihei Ueshiba (1883 – 1969)
Fondateur de l’AÏKIDO

 

Vie de Jean-Rock

« Dès l’âge de cinq ans, j’ai été initié aux arts martiaux en pratiquant le Judo durant six années. Par la suite, j’ai pratiqué différents styles populaires de Karaté à l’adolescence, l’autodéfense et le contrôle des personnes dans le cadre d’une brève carrière de trois années au sein de la Gendarmerie, le Kendo et le Karaté-Kempo durant mes cinq années d’études universitaires, puis, le Karaté Shito-Ryu.

J’ai aussi participé à de nombreux camps d’entraînement variés. Malgré toutes ces années de pratiques martiales, un Instructeur d’Aïkido avec Ki, Sensei Norman Jones, de la Société Ki de Vancouver en Colombie-Britannique, a éveillé en moi en quelques minutes d’entraînement un chemin vers la connaissance que j’avais recherché sans relâche dans la pratique des arts martiaux. C’était au printemps de 1991.

Durant l’année qui a suivi, je me suis consacré à l’étude des principes universels de coordination corps – esprit et l’Aïkido Shin-Shin Toitsu (Ki-Aïkido). Par la suite, j’ai participé à plusieurs camps de perfectionnement auprès de Dojos affiliés à la “Northwest Ki Federation”, principalement à Portland en Oregon (É-U).

Depuis ce temps, et suivant les conseils judicieux de Sensei, je n’ai cessé de transmettre mes connaissances par plaisir en animant des cours et des séminaires de formation, et en enseignant les pratiques relatives au Ki et à l’Aïkido notamment auprès de plusieurs écoles d’arts martiaux et de maîtres, et aussi auprès d’élèves désireux d’apprendre les pratiques de Ki sans toutefois pratiquer les arts martiaux.  

Malgré toutes ces années d’études martiales, j’ai su préserver l’attitude du débutant (Shoshin), une qualité maîtresse permettant de se développer continuellement.

Je considère d’ailleurs chaque élève tel un professeur de vie qui m’instruit sur moi-même lorsque je lui enseigne. Avec quelques élèves, j’ai fondé le DOJO DU NOUVEAU MONDE en décembre 2010 à Québec (QC, Canada), un regroupement indépendant de personnes (sans affiliation) vouées à l’étude du Ki et de l’Aïkido.

Les éléments qui m’ont séduit dans la pratique du Ki-Aïkido se résument ainsi : l’esthétisme des techniques martiales résultant de la fluidité corporelle et de l’harmonisation de soi ; la Paix intérieure ressentie ; la compréhension du Ki applicable dans toutes les activités de la vie quotidienne ; la stimulation de l’énergie vitale par des exercices individuels d’une grande simplicité ; la production de résultats tangibles ne requérant aucun effort physique ; la promotion de la santé et du bien-être, pour moi-même et pour les autres ; le développement de l’intuition et de beaucoup d’autres capacités dites ésotériques ; le développement de la puissance de l’intention et donc de la capacité à modifier la réalité ; la confiance en la vie résultant de l’union de Soi avec l’Univers ; l’augmentation des fréquences vibratoires par l’Éveil spirituel, etc.

Bref, il s’agit d’un art de vivre harmonieux et fascinant qui je dois bien avouer me correspond entièrement. Quiconque peut également adhérer à ce savoir-faire et à ce savoir-être, à cet Art de vivre de manière positive. Quiconque peut y adhérer en tout, ou en partie en y adaptant non limitativement les contenus des tomes I et II de ce livre selon ses besoins et ses ressentis. »

Un guerrier n’est pas ce que vous croyez. Ce n’est pas quelqu’un qui part faire la guerre pour prendre la vie d’autrui. Pour nous un guerrier c’est quelqu’un qui se sacrifie pour le bien-être de son prochain. Son devoir est de protéger les aînées, les gens sans défense, ceux qui ne peuvent prendre soin d’eux-mêmes et par-dessus tout, les enfants, qui sont le futur de notre humanité.

Sitting Bull (1831 – 1890) [6]


Et le Kohaï,[7] s’étant enrôlé un peu par curiosité avec une soif inextricable d’action et d’aventure, exténué par d’intensifs entraînements, demanda sous artifices subtils : « Shihan Rojii,[8] quel est selon vous la signification profonde des arts martiaux, comment ces pratiques parfois douces, parfois même ascétiques et parfois incompréhensibles pour nous profanes en quête de vérité peuvent-elles bien nous conduire vers l’Éveil et le bien de l’humanité ?» 

Et Rojii répondit !

Je dois tout d’abord relater des faits historiques de l’Ancien Japon et du fondateur de l’Aïkido O’Sensei [9] Morehei Ueshiba.[10] Jadis, le Bu-Jutsu,[11] était considéré tel que les fêtes religieuses et la politique.[12]  À cette époque les arts martiaux étaient vu comme un moyen d’apaiser l’âme d’une autre personne…

Ainsi, en manifestant l’énergie du Ki par le Koto-dama,[13] l’esprit de domination et de combat de l’antagoniste est éliminé, comme le répétait toujours le fondateur de l’Aïkido.

Il expliquait que le conflit survient parce que des personnes oublient leur être véritable. L’Aïkido, soit « la Voie de l’Harmonie avec l’énergie » peut aussi de se traduire par : « l’Art de la reconnexion ». De cette façon, l’Aïkido transcende le monde des combats où gagner signifie de rétablir l’harmonie perturbée momentanément. L’esprit demeure calme et serein, il devient inébranlable.

Ces perturbations de l’harmonie à l’origine des problèmes humains viennent du fait d’une séparation du corps et de l’Âme. Le fondateur affirma qu’il était arrivé à la réalisation de Soi lors de la pratique de l’Omoto-kyo.[14]

C’est à cette époque qu’il fonda l’Aiki-Budo.[15] Après la Seconde Guerre mondiale, il changea ce nom pour Aïkido puisque le mot « Bu » pouvait à tort être considéré de façon péjorative comme guerrier ou même envahissant.

Les Kanjis [16] de l’Aïkido s’interprètent précisément comme « la Voie de l’union avec le Ki ». Le Ki désignant dans ce contexte l’Univers absolu. Ainsi, l’Aïkido signifie de devenir Un avec l’Univers. Mais pour y parvenir nous devons d’abord unifier le corps et l’esprit qui peut être interprété comme l’âme. Nous devons nous coordonner. Si l’esprit et le corps sont séparés, il est alors impossible d’être Un avec l’Univers et d’ascensionner ainsi vers des plans supérieurs de conscience.

Maître Ueshiba utilisait souvent des expressions telles que « KI NO NAGARE »[17] (le flux du Ki) et « KI MUSUBI » [18] (l’harmonie du Ki), mais il ne parlait que du texte de l’Omotokyo ou utilisait les noms des dieux. Il a exprimé le fonctionnement du Ki à travers ses techniques belles et puissantes. Heureusement pour nous, son premier successeur Doshu Koichi Tohei, un grand maître, aura su nous transmettre comment parvenir à cet état modifié de la conscience que l’on appelle la « coordination corps – esprit ».

Après le décès du fondateur en 1969, ses disciples ne pratiquaient que les techniques de l’Aïkido, oubliant les principes du Ki et de son fonctionnement. Or il est primordial d’étudier les processus de développement de nos capacités à diffuser le Ki, c’est-à-dire les moyens d’unifier le corps et l’esprit afin de vivre en harmonie avec l’Univers, d’être au meilleur de soi-même et pour jouir intensément du plus beau cadeau du Monde : la Vie.

Cher Kohaï, voilà le sens profond des arts martiaux. [19]


Ainsi, avec la coordination corps – esprit permettant la maestria et l’utilisation du Ki, soit de l’énergie vitale et cosmique, nous permet d’exprimer notre souveraineté en manifestant les forces de notre esprit et notre pouvoir d’intention. Cette connexion avec la Source nous permet d’exprimer notre pouvoir divin de création en élevant notre fréquence vibratoire afin d’influer sur le monde physique.

C’est un processus d’Éveil qui nous guide dans notre mission d’être de lumière incarnée qui se voue à évoluer et à prospérer. Ainsi, nous créons nos vies et nous contribuons de manière positive à la création du Nouveau Monde.

Kanjis de AÏ-KI-DO


[1] Voir la description de ces styles d’arts martiaux dans le lexique à la page XX.

[2] Autodéfense ou défense personnelle (en anglais « Self-defense ») : Désigne un ensemble de techniques de survie tirées des arts martiaux et des sports de combat visant, du moins théoriquement, à permettre au pratiquant de faire face à une attaque armée ou non.

[3] Yoga : (Sanskrit) « union, méthode », « mise au repos ». L’une des six écoles orthodoxes de la philosophie indienne dont le but est la libération de l’être. C’est une discipline ou pratique commune à plusieurs époques et courants, visant, par la méditation, l’ascèse et les exercices corporels, à réaliser l’unification de l’être humain dans ses aspects physique, psychique et spirituel.

Le terme Yoga est communément utilisé en Occident pour désigner des formes de Yoga postural plus ou moins dérivées du Hatha Yoga. Le Hatha Yoga signifie « yoga d’effort » et concerne principalement l’éveil spirituel par les postures correctes, la discipline du souffle et la méditation. Aujourd’hui, il constitue une pratique sous des formes diverses s’appuyant sur le travail corporel et l’attitude mentale correspondante et fait aussi l’objet d’un commerce dans le monde du développement personnel et du marché du bien-être.

[4] New-Age : « Nouvel-Âge ». Courant spirituel occidental des XXe et XXIe siècles, caractérisé par une approche individuelle et éclectique de la spiritualité. Défini par certains sociologues comme un « bricolage » syncrétique de pratiques et de croyances, ce courant sert de catégorie pour un ensemble hétéroclite d’auteurs indépendants et de mouvements dont la vocation commune est de transformer les individus par l’éveil spirituel et par voie de conséquence changer l’humanité pour le meilleur. Le Nouvel-Âge est surtout répandu en Occident.

[5] Paradigme : Représentation du monde, vision, courant de pensée, modèle théorique, etc. Ce qui caractérise un paradigme réside dans le fait que son origine est souvent oubliée dans le temps, ce qui le rend inopérant dans la réalité du moment, et c’est pourquoi il doit être confondu afin de le déprogrammer en soi pour se soustraire à son influence. Confondre ses paradigmes est un pas de géant vers l’Éveil spirituel.

[6] Sitting Bull ou « Bison qui s’assoit » fut un guerrier et médecin et chef du clan Hunkpapas de la tribu des Lakotas de la Première Nation Sioux. Il fut l’un des principaux résistants Amérindiens particulièrement célèbre pour sa participation à la bataille dite de « Little Bighorn » (du nom d’une rivière située dans les États américains du Wyoming et du Montana). À cette occasion, Sitting Bull affronta le funeste général Custer le 25 juin 1876.

[7] Kohaï : (Jap.) Désigne le jeune élève par opposition Senpaï l’élève avancé qui joue un rôle de tuteur auprès du Kohaï et de relais de l’enseignement du Sensei, le professeur.

[8] Shihan Rojii : Shihan désigne le maître-enseignant d’une école d’arts martiaux. Rojii est le nom d’un personnage fictif de plusieurs contes des tomes I et II du présent ouvrage.

[9] O’Sensei : (Jap.) « Grand professeur d’arts martiaux » ou « Maître des maîtres ». Titre référant la plupart du temps au fondateur de l’Aïkido Morihei Ueshiba.

[10] Note : Le fondateur de l’Aïkido, Morihei Ueshiba est né en 1883. Il a pratiqué de nombreux arts martiaux depuis son enfance dont le Daitoryu-jujitsu auprès de Maître Sokaku Takeda. Plus tard, il est devenu adepte de l’Omotokyo, une religion nouvellement créée à cette époque.

[11] Bu-jutsu : (Jap.) « Techniques martiales du guerrier » de l’ancien Japon.

[12] Note : Au Japon, la politique est aussi connue sous le nom de Matsuri-goto. Le mot japonais Matsuri signifie « rites » ou « festivités. » Traditionnellement, de nombreux rites utilisent le terme Matsuri-goto (littéralement, « affaires des festivités spirituelles ») qui en est arrivé à s’appliquer globalement au « gouvernement » en général.

[13] Koto-dama : (Jap.) aussi Kototama : « vraies paroles ». Pratique ésotérique importée de Chine au début du XIXe siècle par le moine bouddhiste Kukaï. Le Kotodama est une science des sons qui tend à démontrer que la vibration est à l’origine de l’énergie (le Ki) et que de ce fait de la vie elle-même. On distingue 75 sons dans les pratiques méditatives du Shinto.

[14] Omoto-kyo : (Jap.) « Secte de la Grande Source » issue du Shintoïsme. Fondée au début de XXe siècle par Deguchi Nao dont l’enseignement ésotérique repris par Deguchi Onisaburo influença grandement le fondateur de l’Aïkido Morihei Ueshiba. La secte aux ramifications mondiales présentait la vision d’un Dieu universel se manifestant dans toute la nature à travers les pulsations rythmées de l’énergie vitale, le Ki.

[15] Aïki-Budo : Premier nom donner par Morihei Ueshiba vers 1930 pour désigner art martial présentant un système de combat rapproché, avec ou sans armes afin de le distinguer du système Daito-Ryu d’où il prenait racine.

[16] Kanji : (Jap.) Caractères empruntés à la culture chinoise (sinogrammes) et utilisés dans la langue japonaise. Les Kanjis contiennent également une très petite proportion de caractères créés au Japon, appelés Kokuji. La valeur du Kanji est idéographique.

[17] KI NO NAGARE : (Jap.) : La fluidité, soit l’écoulement du Ki dans la technique qui survient après la maitrise des techniques des grands cercles de base maintes fois pratiquées (Kihon).

[18] KI MUSUBI : (Jap.) « lier ensemble » ou « connecter » avec l’énergie. Élément indispensable à la réalisation d’une technique menant au rétablissement de l’harmonie dans les pratiques martiales ou dans ses relations avec les autres.

[19] Note : Certains éléments de ce texte ont été inspirés des propos de Maître Koretoshi Maruyama, auteur du livre « Aikido with Ki » alors qu’il étudiait sous la gouverne de Doshu Koichi Tohei. Référence bibliographique : Maruyama, Koretoshi, Aikido with Ki, Ki No Kenkyukaï, Tokyo, Japon, 1984, 208 p.

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A propos Shihan Jean-Rock Fortin, M.A.

Globetrotteur par affaires et pour le plaisir, et Orientaliste, je suis instructeur d'arts martiaux (maitre-enseignant de Ki-Aïkido [Shihan] & Dim-Mak), Fondateur du Dojo du Nouveau Monde (2010), "Séancier" de Kiatsu, Métatronicien, Radiesthésiste, Coutelier d'art, Conférencier et Auteur du livre "Ki - Le Chemin de l'Éveil" (2018). Je suis également Consultant stratégique en évolution et prospérité des personnes et des organisations.

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