MAUVAISE MUSIQUE |
la preuve qu’elle altère le sang |
Nous avions déjà pris connaissance des extraordinaires expériences du chercheur japonais Masaru Emoto, par ses cristallisations d’eau à -18°C au sein de différentes ambiances musicales (classiques, traditionnelles, chansons, jazz, hard rock, rapp, etc.). Autant, avec de belles musiques, les cristaux vus au microscope sont d’une beauté et d’une régularité absolue telles des rosaces de cathédrales, autant les cristaux formés dans une ambiance dissonante sont difformes et chaotiques. Ceci met en évidence que l’eau est une mémoire universelle (voir ou revoir les travaux de Benvéniste) qui enregistre toutes les ambiances vibratoires qu’elle traverse. Il faut donc réaliser que notre corps physique étant composé de 70 à 80% d’eau, garde en mémoire, par cette eau, toutes les ambiances dans lesquelles nous avons baigné d’une façon habituelle, qu’elles soient harmonieuses ou dissonantes. Le bruit de fond musical insipide que l’on entend (mais que l’on n’écoute pas) dans les restaurants et les grandes surfaces, avec des voix et des sons de synthèse stérilisés et sans expression – que j’appelle de la « diarrhée musicale » – ne peut être appréhendé ni comme une avancée de l’art musical ni comme un bienfait quelconque pour la santé globale des auditeurs. Jusqu’ici, ces découvertes nous avaient ouvert des horizons sur les capacités d’enregistrement de l’eau et sur leurs applications d’utilisations stupéfiantes, mais je n’aurais pas cru que les globules rouges de notre sang pouvaient aussi être énergétiquement impactés et dérangés dans leurs rapports électromagnétiques lorsqu’on écoute ce genre de musique. On voit clairement au microscope qu’au lieu d’occuper l’espace quantique sanguin d’une manière homogène, ils s’agglutinent par grappes en piles d’assiettes, comme pour se protéger. Il y a de quoi s’inquiéter sur les conséquences des cacophonies « sataniques » de décibels agressifs dont se gavent et se « shootent » beaucoup de jeunes actuels. À moyen et long terme, cela risque de produire des maladies dégénératives autant physiques que psychologiques. Des lecteurs regrettent que l’auteur n’ait pas étudié les effets des belles musiques et des chefs-d’œuvre sur le sang. Ces études intéressantes restent bien sûr à effectuer en vue de compléter scientifiquement les bénéfices de ce qu’on appelle « la musicothérapie ». Mais il faut reconnaître que c’est le travail le plus urgent qui a été effectué. Regardez l’impressionnant rapport de 10min 47s qui suit et réfléchissez-y : |