Les pièges du Nouvel Âge et de la méditation pour contrôler les humains

Les pièges du Nouvel Âge et de la méditation pour contrôler les humains

Attention, cet article risque de choquer ! Il m’incombe de dire au plus grand nombre le piège spirituel de certaines pratiques New Age qui est tendu pour manipuler les humains dans le but de les contrôler.

Le Nouvel-Âge (ou New Age) est un courant spirituel occidental des XX^e et XXI^e siècles, caractérisé par une approche individuelle et éclectique de la spiritualité. Défini par certains sociologues comme un « bricolage » syncrétique de pratiques et de croyances, ce courant sert de catégorie pour un ensemble hétéroclite d’auteurs indépendants et de mouvements dont la vocation commune est de transformer les individus par l’éveil spirituel et par voie de conséquence changer l’humanité pour le meilleur. Le Nouvel-Âge est surtout répandu en Occident.

On considère le New Age comme l’apparition d’un nouveau paradigme culturel, annonciateur d’une ère nouvelle dans laquelle l’humanité parviendra à réaliser une part importante de son potentiel, psychique et spirituel. C’est du moins ce qui serait souhaitable du fait que l’esprit domine la matière…

Au fil du temps, les gouvernements, les institutions, les religions et bien d’autres structures sociétales (dites sauvages parce que livrées à elles-mêmes lorsque mise en place) ont été investis par l’élitisme voué au contrôle planétaire des masses et à son génocide. Le Nouvel Âge n’a pas échappé à ces infiltrations, et il fait même partie du plan pour en arriver ultimement à l’instauration d’une religion unique à l’aide de hautes technologies de contrôle mental (ex. : Le Blue Beam Project de la NASA).

Ce qui suit démontre le mal-fondée de seulement quelques pratiques et propose des moyens simples d’évaluation qui permettent de reprendre notre pouvoir et d’évoluer en évitant de se dénantir de notre pensée critique et de notre libre arbitre.

1- CAPACITÉ À COORDONNER LE CORPS ET L’ESPRIT

Lorsqu’on réalise la coordination corps-esprit, l’esprit s’apaise et le corps devient stable. Des règles corporelles et spirituelles se conjuguent alors pour produire un état modifié de la conscience qui s’avère le prérequis à toute pratique visant l’élévation de la conscience.

La coordination corps – esprit, naturellement acquise ou apprise, est fondamentale pour réaliser toute évolution spirituelle. Cet état modifié de la conscience élève grandement le niveau vibratoire d’une personne la réalisant.

Voici un exemple qui démontre brièvement une méthode de biofeedback utilisée pour déterminer s’il y a coordination corps-esprit ou pas (notez que j’ai écrit un livre de 400 pages sur le sujet : Ki— Le Chemin de l’Éveil, ce qui fait malgré moi une figure du mouvement Nouvel-Âge auquel je ne souscris pas).

Vidéo : Tester des positions et mudras de méditation

Le Mot japonais « Seiza » désigne la position traditionnelle consistant à s’agenouiller sur le sol en pliant les jambes en dessous des cuisses, tout en reposant les fesses sur les talons. Les chevilles sont tournées vers l’extérieur dans une forme en « V ». Le dessus des pieds se retrouve donc à plat sur le sol et les gros orteils se croisent ou se touchent. Finalement, les fesses sont descendues et trouvent appui sur les talons (ou sur un banc de méditation tel qu’illustré).

Pour adopter la position Seiza permettant la coordination corps – esprit durant la méditation ou un exercice respiratoire, les orteils doivent obligatoirement se toucher ! Pour démontrer le bien-fondé de cette assertion, un partenaire peut tester la stabilité physique d’une personne assise dans la position Seiza, tout simplement en lui appliquant d’une main une légère pression directement sur la poitrine (tel qu’illustré). Il s’agit d’un test dit de 1^er niveau.

Si les orteils se touchent et que la personne testée relaxe complètement en déposant avec légèreté ses mains sur l’intérieur de ses cuisses, alors elle révèlera une grande stabilité physique (impliquant une profonde stabilité mentale). Cependant, si les gros orteils ne se touchent pas, elle tombera très facilement avec ce léger test physique, indiquant une rupture de coordination corps – esprit.

Aussi, s’assoir au sol en W sur un coussin est certainement confortable, mais ne saurait passer ce test de base. Et ce ne sont pas tous les bancs de méditation, même s’ils ont parfois l’air très Zen, qui permettent que les gros orteils se touchent !

Cette instabilité physique, ou rupture de coordination, se produit aussi dans le cas où un pratiquant utilise une Mudra erronée, comme celle consistant à joindre le pouce et l’index (mudra Jnana) ou le majeur (mudra Shunya) et à laisser reposer le tout sur les cuisses, de chaque côté du corps.

Dans notre société, cette Mudra exotique est mercantilisée de diverses façons et on l’associe à la zénitude et à la méditation. On la voit partout…

J’ai eu l’occasion de tester la stabilité physique de nombreux pratiquants exécutant cette Mudra et ses variantes, dans leur méditation, et le résultat s’avère toujours le même : soit une absence de coordination corps – esprit. Ceci est causé par une gestuelle active dirigée dans plus d’une direction. Malheureusement, de telles pratiques erronées peuvent assurément conduire à des conséquences négatives sur la santé physique et mentale d’un individu.

En effet, les individus croyant s’améliorer en se livrant à de telles pratiques interrompent le flux de Ki ou d’énergie vitale au lieu de le renouveler. Dans une autre perspective, ils limitent leur conscience au lieu de l’élargir…

Une méditation sans coordination corps – esprit est non seulement inutile, mais peut s’avérer nuisible pour la santé mentale et physique d’une personne en plus de dissiper son énergie vitale…

Ces méthodes de tests de biofeedback sont qualifiées d’ésotériques, c’est-à-dire qu’elles ne sont connues que par un petit nombre, alors que malheureusement les méthodes erronées de méditation sont qualifiées d’exotériques parce que très répandues auprès d’un large public.

Lorsque la posture est bonne, c’est-à-dire qu’elle passe le test de stabilité, on procède alors au test de 2e niveau. Un partenaire applique une légère pression de la main au niveau du centre de la poitrine de la personne en même temps qu’il lui soulève le genou de l’autre main. Il s’agit donc d’un double test.

Même coordonnée, la personne se livrant au test sera généralement renversée facilement en raison de l’effet de levier et de la forte distraction produite par une telle manœuvre. Cependant, avec la mudra appropriée (Anjali, In, Rin, Matangi, Dhyani, etc.) la personne testée pourra demeurer stable même avec un double test qui s’avère un test de 2^e niveau. Elle pourra même exécuter la mudra mentalement pour se coordonner profondément.

Mudra Matangi

Mudra Rin

Mudra Dhyani

Mudra Anjali

Mudra In

2- LE RAISONNEMENT

Tout le monde a vu ou entendu parler d’enracinement ou de gens « groundés ». Pourtant, si on teste physiquement avec légèreté la stabilité des personnes se livrant à ces pratiques, elles sont facilement déstabilisées. Elles ne sont pas coordonnées.

Aussi, l’enracinement réfère à une ancienne vision du Monde présentant une Terre (ou le continent Terre sur Gaïa) comme plate plutôt que ronde. À vision erronée, coordination corps – esprit impossible.

Dans certains cas, on va s’ancrer en visualisant qu’on est un arbre qui étend ses racines profondément. Résultat : instabilité physique automatique (donc déconnexion d’avec la Source). C’est très bien d’aimer la nature et de s’y harmoniser, c’est vital, mais les arbres sont de 2^e densité (2^e dimension) alors que les humains sont par défaut de 3^e densité (3^e dimension).

Si on assume (avec raison) que les humains aspirent à évoluer, alors choisir de devenir un arbre constitue de toute évidence une involution. Et la prochaine étape sera de s’identifier à une pierre appartenant à la 1^ère densité (1^ière dimension).

Le corps de lumière d’un humain est déjà dans la 5^e densité (5^e dimension), et c’est dans cette optique que l’on peut envisager l’ascension spirituelle en le rejoignant et en faisant de nous tous des seigneurs de la création, des êtres de lumières aux fréquences vibratoires gargantuesques. Alors que se voir comme une plante freine notre évolution.

3- ASSUMER SA SOUVERAINETÉ

Des pratiques d’éveil parfois millénaires ont été dénaturées de toutes sortes de manières afin de les rendre caduques tout en donnant l’illusion d’accomplir ce qu’elles prétendent. C’est le cas pour des mouvements populaires tels que la « méditation transcendantale » et plus récemment à la mode, la méditation dite « pleine conscience ».

Ces pratiques, tout comme d’autres, créent des égrégores desquels émane de l’énergie. Si vous testez avec légèreté une personne prononçant : « méditation pleine conscience ! », elle perdra aussitôt sa coordination corps – esprit et sera facilement déséquilibrée, car il s’agit d’un égrégore négatif. Le nom même de cette pseudo-méditation est suffisant pour produire une rupture de coordination corps – esprit. Imaginez les effets réels d’une telle pratique produisant cette parfaite illusion.

Vidéo : Tester les égrégores de méditations

En raison du phénomène d’intrication, en prononçant la chose en question, en la nommant, on crée un lien quantique avec son égrégore. Dans ce cas-ci, il se produit une interférence destructive parce que l’égrégore de la « pleine conscience » est négatif.

Cette méditation est tirée de méditations d’origine asiatique que l’on a dénaturée pour en purger l’essence profonde.

C’est exactement comme priver un humain de son identité et de sa souveraineté, on obtient alors un robot qui ne fonctionne que grâce à la programmation subconsciente. Ce sont des universitaires très compétents qui ont appliqué à cette pratique spirituelle les principes de contrôle digne de l’État profond.

On est tous d’accord sur l’idée d’instituer la médiation dans les écoles pour l’apprendre aux enfants. Cependant, en leur enseignant les méthodes erronées comme la méditation pleine conscience on s’assurera de ne produire aucun avancement spirituel. Ce sera donc utilisé comme une méthode de contrôle mental menant inévitablement vers une involution spirituelle.

Et qui donc sera chargé de ces programmes d’enseignement dans les écoles ? Les mêmes profs qui, il n’y a pas très longtemps, faisaient peur aux enfants, leur disant qu’ils allaient tuer leurs grands-parents, les culpabilisaient et les forçaient à porter des masques, à se distancier, à se brosser les dents et à se laver les mains à outrance, et tout ça sans aucun fondement rationnel. Je regrette, mais ces enseignants qui font maintenant la promotion du transgenrisme auprès des enfants n’ont certainement pas la compétence voulue pour les accompagner vers l’Éveil par le biais de la méditation.

Ça me rappelle une anecdote d’une personne à qui j’avais prêté un livre écrit par Maître Tenpu Nakamura, le fondateur du Yoga japonais. Seulement une semaine plus tard, il annonçait qu’il enseignait le Yoga japonais, et plusieurs personnes se sont inscrites.

Ceci était évidemment une improvisation absurde, car il s’agit d’un apprentissage qui requiert plusieurs années d’étude et de pratique pour en comprendre l’essence. Il en est de même avec la méditation. Les professeurs de Yoga il en pleut et beaucoup se livrent à des pratiques erronées. Pour d’autres, il ne suffit que de suivre un cours pour offrir des formations quelques jours plus tard.

Beaucoup de gens qui adhèrent à tout et à n’importe quoi dans le domaine du marché du développement personnel et de la spiritualité remettent leur pouvoir entre les mains de purs étrangers souvent sans références ou compétences, et beaucoup se font piéger par ces offres séduisantes du New Age. C’est comme remettre sa santé entre les mains du médecin, alors qu’il n’y a que soi-même qui peut la prendre en main.

C’est la même chose avec une méditation guidée qu’on aura pêchée quelque part sur Internet. On se laisse alors guider vers une transe hypnotique sans se poser de question tout en écoutant des fréquences inaudibles non mesurées dont on n’aura aucune conscience de leur nature ou de leur provenance. La vraie méditation guidée doit être lue a priori par le méditant qui aura choisi par la suite de la faire en toute connaissance de cause. Notez que la méditation requiert une préparation souvent plus longue que l’activité elle-même.

Et puis, il y a les canalisations. Avez-vous la foi à ce point pour être certain que l’entité qui est au bout du fil est celle qu’elle prétend? Comment le savez-vous? Ce n’est pas parce qu’une entité n’a pas de substance physique (un corps) qu’elle vous est supérieure ou qu’elle sait plus de choses que vous. Surtout pas celles de la 4^e densité.

Assumez votre souveraineté et ouvrez les yeux. Ne soyez pas dupe. N’adhérez à rien tant que vous n’avez pas vérifié et validé le bien-fondé d’une pratique. Le monde de la spiritualité et du bien-être est fascinant et indispensable, mais nous devons être très vigilant car il est piégé. Remisez votre ego et agissez avec prudence !

Amour
Jean-Rock Fortin